Pour cette reprise des échecs pour les adultes en "présence" dans notre nouvelle salle, nous avons eu droit à une partie commentée avec questions-réponses des participants.
La partie choisie qui a opposé Akiba Rubinstein à Carl Schlechter (San Sebastian, 1912) est un modèle du genre de jeu "simple" direct et logique dont les joueurs de tous niveaux peuvent s'inspirer. A noter deux jolis coups sur le même thème de la déviation.
"A retenir"
RépondreSupprimer--> Quand les Dames sont échangées, le roque n'est pas forcément utile
--> Ne pas avoir développé toutes ses pièces avant d'engager le combat, c'est s'exposer.
--> ...
Il n'empêche que les Noirs trouvent plusieurs coups de défense et ça peut faire écho à des parties où on sait qu'on a eu l'avantage (comme Rubinstein) sans avoir réussi à concrétiser.
Côté Noirs, je salue les 18ème et 20ème coups : un mini-plan de défense permettant de lier les Tours et de blinder f7. La position est favorable aux Blancs mais elle ne se gagne pas toute seule.
Bon choix de partie. Merci Serge.
Merci Serge pour ce choix de partie, que j'ai retrouvée dans un de mes livres et commentée par Luc Pitallier sur Youtube :https://www.youtube.com/watch?v=6swQ1HKQLYo
SupprimerHeureux hasard : Rubinstein, le magicien des finales de tours
SupprimerDurée : 40 minutes qui passent toutes seules. Concept développé : transférer un avantage en un autre avantage.